A Trégastel, en 2017

Le prolifique auteur et homme de théâtre Goulc’han Kervella publie La Fête des terminales (Editions des Montagnes noires). Inspiré par un fait d’hiver survenu aux Etats-unis, il y raconte le suicide d’un adolescent après que sa liaison avec un jeune homme ait été dévoilée sur les réseaux sociaux. Il y a deux ans, Goulc’han Kervella avait déjà écrit sur une passion amoureuse entre deux jeunes hommes, isolés sur une île, pour une campagne de ramassage de goëmon, à l’orée de la guerre 14 : N’eus ket garantez eurus (traduction Il n’y a guère d’amour heureux, Skol Vreizh). Connu pour son travail au sein de la troupe de théâtre bilingue Ar Vro Pagan, à Plouguerneau (29), Goulc’han Kervella a aussi sorti, en avril, Enez an Amerikaned (L’Ile aux Américains, Skol Vreizh) qui raconte une aventure entre une jeune bretonne et un soldat noir américain, en 1918.